Un mini transmetteur téléphonique GSM avec audio

Économique et ultra compact, ce transmetteur téléphonique GSM à associer à n’importe quelle centrale d’alarme, dispose de  deux  canaux  et  peut  envoyer  des messages  vocaux  à 8 numéros de  téléphone par canal.  Il peut aussi envoyer des SMS. Il est disponible avec son boîtier plastique spécifique et l’antenne bibande est une piste du circuit imprimé.
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
-  transmetteur téléphonique d’alarme GSM à deux canaux,
-  huit numéros de téléphone par canal,
-  deux messages vocaux de dix secondes,
-  cinq cycles d’appels par canal,
-  deux répétitions du message,
-  envoi message vocal ou SMS,
                                                      -  signalisation de présence du champ GSM,
                                                      -  blocage de l’alarme à distance,
                                                      -  sortie numérique activable à distance,
                                                      -  programmation des numéros sur SIM,
                                                      -  reconnaissance d’aboutissement d’appel.



Ce montage se rapporte à la catégorie des dispositifs de  contrôle  et  d’activation  à  distance  utilisant  le réseau GSM avec antenne intégrée (une piste du ci). Cette solution permet de réaliser des appareils compacts et économiques, en particulier si on monte un des modules GSM Telit, lesquels sont devenus incontournables depuis que Sony-Ericsson a cessé la production des siens.

réalisation
Ce montage est un transmetteur téléphonique GSM, c’est-à-dire un appareil que l’on couple à une centrale d’alarme et qui, en cas de survenue d’une alarme (juste-ment), envoie à des usagers habilités, dont les numéros de téléphone ont été préalablement mémorisés, des appels vocaux ou des SMS.

Par rapport aux transmetteurs traditionnels, les GSM sont moins faciles à neutraliser ou à détruire et ils garantissent par conséquent une sécurité supérieure. Le nôtre utilise donc un module GSM Telit de faibles dimensions, très fable et facile à utiliser quelle que soit la confguration nécessi-tée ; il est en effet doté de toutes les fonctions dont on peut avoir besoin (ce concentré de haute technologie a été étudié aussi bien pour les applications professionnelles que pour ceux –comme vous peut-être– qui souhaitent se familiariser avec ce type de matériel mais sans vouloir transiger en rien avec la qualité et la sécurité).

Nous avons prévu deux canaux d’entrée et  la possibilité d’enregistrer deux messages audio différents d’une durée de dix secondes chacun ; nous pourrons ainsi utiliser un canal comme alarme proprement dite et  l’autre –couplé à des capteurs adéquats– pour signaler des événements

autres  que  le  vol  ou  l’effraction, comme, par exemple, une inondation ou un  incendie, une coupure de cou-rant ou une situation de pré alarme.

Nous  avons  également  prévu  une sortie  pouvant  être  utilisée,  dûment interfacée, pour activer n’importe quel dispositif électrique ou électronique, de  l’éclairage  domestique  à  la  cen-trale antivol en passant par l’arrosage automatique du  jardin ou  l’ouverture du portail. On peut coupler à chaque canal  (et  au  message  audio  corres-pondant) huit numéros de téléphone ; le système effectue, en cas d’alarme, cinq cycles d’appels par canal en répé-tant le message deux fois. Ou alors on peut envoyer des SMS préalablement préparés.


Bien  sûr  le  cycle  d’alarme  peut  être interrompu  localement ou à distance en utilisant des commandes adéqua-tes.  Le  transmetteur  dispose  encore d’une série de LED qui donnent de pré-cieuses informations sur le fonctionne-ment du circuit : survenue de l’alarme, intensité du champ GSM, etc.


Les numéros de téléphone à appeler en cas d’alarme sont mémorisés dans la carte SIM, ainsi que les SMS. L’en-trée en alarme peut se faire avec des signaux d’entrée positifs ou négatifs ; tandis que pour l’enregistrement des messages  on  se  sert  d’un  classique circuit intégré DAST (sa capacité maxi-male  est  de  vingt  secondes).  Mais voyons maintenant en détail le schéma électrique de ce transmetteur.


                                               Le schéma électrique

Le  circuit  comporte  trois  éléments fondamentaux  (voir  fgures  1  et  2) : le module GSM bibande Telit GM862 (GSM1),  le  circuit  intégré  numérique DAST (U3) dans lequel les deux messa-ges audio sont mémorisés et le micro-contrôleur CMS PIC16F628A (U2) lequel gère toutes les fonctions du transmet-teur. Bien sûr cette puce est disponible déjà programmée en usine avec le pro-gramme résident que nous avons écrit. Le transmetteur nécessite une tension d’alimentation comprise entre 8 et 15 V à appliquer aux bornes PWR ; cette ten-sion est ensuite abaissée à 3,6 V par le régulateur U1 car  le micro,  le module GSM et le circuit intégré ISD travaillent sous cette tension.


Le PIC fonctionne grâce à une horloge interne à 4 MHz obtenue en mettant en œuvre un quartz relié aux broches 15 et 16.

Aux  lignes RB6 et RB7 correspondent les deux entrées d’alarme (P1 et P2) les-quelles sont normalement maintenues au niveau logique haut par les résistan-ces de tirage (“pull-up”) R5 et R7.



Les points P1 et P2, par conséquent, doivent être  reliés à  la masse  (à  tra-vers D3 et D4) afn de faire entrer en fonctionnement le transmetteur.

Si  on  envisage  d’utiliser  un  signal d’alarme positif,  il est nécessaire de relier chaque point P1 et P2 d’entrée à  la masse à  l’aide d’une  résistance d’une valeur de 10 k.


Le  transmetteur  devra  être  éteint et  rallumé  pour  que  le  programme résident, se rendant compte de la pré-sence des résistances de maintien au niveau logique bas des deux entrées, se prépare à identifer comme alarme l’éventuelle présence d’une impulsion positive. Dans les deux cas, l’impulsion d’alarme  doit  avoir  une  durée  d’au moins 0,5 seconde.



Les diodes (avec l’aide des résistances
R5 et R7) empêchent qu’arrive sur les
entrées du PIC une tension supérieure
à 3,6 V.


A  la  ligne  RB4  et  au  transistor  T1
correspond la sortie du transmetteur,
laquelle peut être utilisée pour com-
mander un  relais de puissance avec
lequel  on  puisse  ensuite  activer  ou
désactiver n’importe quelle charge.


L’entrée “INIB”, qui correspond au port
RB0, est utilisé pour bloquer,  locale-
ment, un cycle d’alarme : pour cela il
sufft de mettre l’entrée à la masse.


Le micro  contrôle  le  fonctionnement
de  la puce  vocale  (U3) à  travers  ses
lignes RA2, RA3 et RB7 qui agissent
respectivement sur  les  lignes REC et
PLAY  du  DAST  et  sur  la  partition  de
mémoire  contrôlée  par  les  adresses
A4 et A6.


Rappelons  que  cette  puce  est  en
mesure  de  numériser,  enregistrer  et
reproduire  un message  audio  d’une
durée  totale  de  20  secondes ;  dans
notre  cas,  comme  nous  avons  deux
messages,  ils  sont  de  10  secondes
chacun.  Pour  enregistrer  le  premier
message, il sufft de presser le pous-
soir  M1  qui  correspond  à  la  ligne
RA1:  le  poussoir  est  maintenu  jus-
qu’à ce que la LED L1 s’allume (envi-
ron 15 secondes).


A ce moment  (M1  toujours pressé)  il faut enregistrer le message en parlant bien  près  du  microphone  MIC ;  au bout des dix secondes la LED s’éteint et nous pouvons relâcher le poussoir.
Pour enregistrer  le second message, nous devons agir sur M2 cette fois : la séquence est identique.


Pour  le contrôle du module GSM, on utilise une  ligne série correspondant à RB1 et RB2 ;  les  lignes  sont direc-tement connectées à l’interface série du module GSM (broches 20 et 37 du GM862).


Une  troisième  ligne  (RA4)  permet d’allumer et éteindre le module Telit. Les autres broches du micro sont uti-lisées pour  l’alimentation (positif sur la  14  et  négatif  sur  la  5)  et  pour  le “reset” (port RA5, broche 4).


En  ce qui  concerne  le  circuit  intégré ISD1420  contenant  les  messages vocaux (l’unique puce en version DIL, “dual-in-line”, présente dans le trans-metteur),  les  autres  lignes  utilisées sont celles de l’entrée BF et la sortie audio de puissance.


 Ce circuit nous permet aussi de con-naître l’intensité du champ GSM ; cette donnée est en effet disponible de  la part  des  différents  réseaux GSM  et, si  le micro  la  réclame, elle peut être signalée par la LED L3.

La procédure que nous avons mise au point est fort simple : il sufft de pres-ser  en même  temps  les  deux  petits poussoirs jusqu’à ce que L3 s’allume ; quand on les relâche, la LED clignote selon la modalité suivante : 3 éclairs = signal optimal, 2 éclairs = bon signal, 1 éclair = signal suffsant, aucun éclair = signal faible ou insuffsant. 



                                                   
                                         
  




























Dans  notre  cas  les  lignes  MIC  et MICREF sont directement connectées à une capsule microphonique magné-tique  et  les  sorties SP–  et SP+  sont reliées à l’entrée audio du module GSM à travers les résistances R22 et R28. La ligne “RECLED” de U3 présente nor-malement un niveau logique haut qui devient bas pendant l’enregistrement du message audio.

On obtient ainsi l’allumage de la LED L1 durant les dix secondes de l’enre-gistrement et la possibilité pour la LED L2  d’être  commandée  par  la  sortie “LED” du GM862.

Au moyen de cette LED, le module GSM met en évidence l’état de sa connexion au réseau GSM.
A la mise sous tension, L2 clignote de manière irrégulière pour indiquer que le connexion au réseau est recherchée mais non encore obtenue ; si,  au  bout  de  quelques  dizaines  de secondes, la LED commence à clignoter lentement et régulièrement (un éclair toutes  les  trois  secondes  environ),
c’est que le dispositif est maintenant verrouillé au réseau GSM.


Dans  le  cas  contraire,  L2  clignote beaucoup plus rapidement (un éclair par seconde).



                                           Le programme résident 
 
La description du schéma électrique étant terminée, arrêtons-nous quelque peu sur le programme résident implé-menté  dans  le  microcontrôleur  ou, mieux, sur le mode de programmation des numéros de téléphone et sur l’exé-cution des procédures d’alarme. Bien sûr ces procédures et ce paramétrage sont  la  conséquence  directe  de  la structure du programme résident ! 


Disons  tout  de  suite  que  tous  les numéros  de  téléphone  que  le  trans-metteur  appellera  en  cas  d’alarme sont  mémorisés  dans  la  carte  SIM insérée dans le module Telit.


Cette opération doit donc être effec-tuée avant de mettre le transmetteur en  fonctionnement.  Pour  cela,  nous devons insérer la SIM dans n’importe quel téléphone mobile et commencer par déshabiliter  la demande de PIN ; ensuite, sélectionnons la rubrique de la SIM et éliminons tous les numéros éventuellement  présents. Nous  pou-vons alors insérer les numéros à habi-liter et les sauvegarder avec la procé-dure habituelle. Dans ce cas toutefois, à  la demande du nom, nous devrons paramétrer un code particulier permet-tant au système d’associer le numéro de téléphone au canal et à la position. A  la demande du nom, nous devrons insérer l’indication suivante :
        
Axy,

 
où A est une lettre majuscule à toujours insérer d’abord, x représente le canal (1 ou 2) et y  (la position dans  la  liste (1, 2, 3, ...8).


Pour associer  le numéro de téléphone 4256345712 au premier canal et à la première position, nous devrons insérer à la place du nom l’indication suivante :


A11.



Si en revanche nous voulons associer ce même numéro au second canal et à la quatrième position, nous devrons insérer à la place du nom l’indication suivante :
         
A24.

 
Bien  entendu  nous  pouvons  effacer, modifer  ou  changer  de  position  les divers numéros de  téléphone comme nous  le  faisons  d’habitude  avec  la rubrique normale de notre mobile. 



La possibilité d’envoyer des SMS existe aussi, mais elle est cependant limitée à un seul numéro par canal. Les SMS aussi  sont mémorisés  dans  la  carte SIM. Pour cela, effaçons tout d’abord
tous  les messages  présents  dans  la SIM, y compris ceux de bienvenue des divers gestionnaires.


Nous pouvons alors écrire les messa-ges  correspondant au premier  canal et insérer le numéro de téléphone du destinataire. Le message sera envoyé manuellement  une  première  fois  de manière à le mémoriser dans la SIM. Effectuons la même procédure pour le second message. 


Comme  paramétrage  prédéfni  notre transmetteur n’envoie que les messa-ges vocaux ; pour habiliter la fonction d’envoi  des  SMS,  il  est  nécessaire d’effectuer une procédure simple con-sistant à alimenter le transmetteur en maintenant pressé le poussoir M1.


Après  quelques  secondes,  L3  entre en fonction : pour habiliter l’envoi des SMS, le poussoir M1 doit être relâché après le premier éclair.


Pour désactiver la fonction d’envoi des SMS, il sufft de répéter la procédure et de relâcher le poussoir M1 après le second éclair au lieu du premier. 


Comme on l’a dit précédemment, il est possible d’interrompre une séquence d’alarme  localement  ou  à  distance. Rappelons que durant cette séquence la LED L3 reste allumée fxe.


En  ce  qui  concerne  la  désactivation locale, il suffra, à tout moment de la procédure, de mettre à la masse (avec un poussoir ou un contrôle numérique) la broche “INIBIT” du circuit.


À distance, la chose est en vérité un peu moins aisée : disons tout de suite que la désactivation à distance ne pourra être effectuée que par  le premier numéro de  la  liste  (du  premier  ou du  second canal) et seulement durant le premier cycle d’appels.



En fait, après avoir effectué le premier appel d’alarme au premier numéro, le transmetteur se met en attente pen-dant environ vingt secondes : si dans ce  délai  le  numéro  qui  vient  d’être contacté  l’appelle,  le  cycle  d’alarme est  bloqué  et  les  appels  aux  autres numéros ne seront pas passés.

Le  “reset” du cycle d’alarme est mis en évidence par le refus de la part du transmetteur de l’appel entrant. 

Occupons-nous enfn de la sortie sup-plémentaire qui, comme dans  le cas précédent,  ne  peut  être  activée  que par le premier numéro de la liste. 

Pour  cela  nous  devons  appeler  le transmetteur  et  interrompre  l’appel après  deux  coups  de  sonnerie.  Pour confrmer  l’activation  de  la  sortie, le  transmetteur  appelle  le  premier numéro deux fois. 

La désactivation de la sortie est éga-lement  une  prérogative  du  premier numéro de la liste.

Pour désactiver la sortie, la procédure est identique : avec le téléphone mobile habituel nous devons appeler le trans-metteur et interrompre l’appel après le premier coup de sonnerie. C’est tout ! Le transmetteur rappelle alors le premier numéro une seule fois pour signaler la désactivation de la sortie.


                                                     La réalisation pratique
          La platine

La réalisation pratique de ce transmet-teur téléphonique d’alarme demande  pas mal de doigté car  la plupart des composants sont montés en surface (CMS).

Si vous craignez de ne pas  y arriver, vous pouvez toujours acheter l’appareil tout monté, essayé et prêt à être ins-tallé (le prix est le même que si vous achetez tous les composants et le ci).


Si  vous  décidez  de  le  réaliser  vous-même,  il vous  faut  le circuit  imprimé double face à trous métallisés ET649 dont la fgure 3b-1 et 2 donne les des-sins à  l’échelle 1 ; quand vous  l’avez réalisé (par la méthode habituelle de la pellicule bleue, mais n’oubliez pas de relier les deux faces) ou que vous vous l’êtes procuré, positionnez tout d’abord le microcontrôleur PIC en version CMS U2 avec soin et utilisez pour le souder
un petit fer de 15-20 W à pointe fne et du tinol de petit diamètre.


Orientez bien le repère-détrompeur en U vers R6. Soudez  la patte 1, reposi-tionnez le circuit intégré, puis la 10 et ensuite, en prenant votre temps pour laisser refroidir  le composant, toutes les autres pattes (18 en tout). Attention au court-cuircuits entre les pattes.


Le transmetteur ne dispose que de deux poussoirs avec lesquels il est possible de paramétrer toutes les fonctions et de mémoriser les messages vocaux. Les trois LED du circuit rendent plus aisées ces opérations et de plus elles permettent à tout moment de savoir l’état de fonctionnement de l’appareil. Le transmetteur comporte deux entrées d’alarme pouvant être activées par des impulsions positives ou négatives, d’une sortie auxiliaire collecteur ouvert (contrôlable à distance) et d’une entrée d’inhibition du cycle d’alarme. La programmation des numéros de téléphone à appeler et des SMS se fait sur la carte SIM au moyen d’un simple téléphone mobile.

Montez le support CMS à 50 broches du module Telit GM862 (mêmes pré-cautions que ci-avant ; ne le mettez en place  qu’à  la  toute  fn  du montage). Plus facile, montez le support du DAST U3 (vous ne le mettrez également en place qu’à la fn du montage).

Mais attention, entre les deux rangées de ce support on doit monter des résis-tances et des condensateurs CMS qu’il vaudrait mieux placer et souder avant. Vérifez soigneusement ces premières soudures  (les plus diffciles). Pour  le reste, si vous observez bien les fgures 3a  et  4  et  la  liste  des  composants, vous n’aurez pas d’autre diffculté de montage  que  celle  de  devoir  souder beaucoup de CMS  (quelques compo-sants  sont  traversants)  mais  prêtez de l’attention à la polarité (et donc à l’orientation) des composants polarisés comme les électrolytiques, les diodes, les LED, le transistor, le régulateur U1 en boîtier TO220 (semelle métallique vers R29).


Montez,  donc,  les  résistances  et  les condensateurs  restants  (électrolyti-ques en dernier), les diodes, les LED.



Montez  ensuite  le  quartz,  les  deux poussoirs, le microphone et terminez par  les  deux  borniers.  Le  régulateur U1  LM317  est  monté  debout  sans dissipateur.

Vous  pouvez  maintenant  insérer  le DAST  U3  dans  son  support  (repère-détrompeur en U vers l’extérieur gau-che de la platine) et le module GM862 dans  le sien ; soudez son petit câble coaxial adaptateur (l’antenne bibande est déjà là puisqu’elle est constituée par une piste du ci) sur cette face de la platine et insérez la petite fche volante dans la prise socle ANT du module.


L’installation dans le boîtier plastique spécifique

La platine est prête et il ne vous reste qu’à  l’installer dans son boîtier plas-tique spécifque  (voir photo de début d’article). L’appareil doit être alimenté en 12 Vdc (D1 et U1 se chargent, avec les quelques condensateurs et résis-tances alentour, d’en tirer une tension continue  stabilisée),  sachant que  sa consommation est au repos de 20 mA et en émission d’environ 200 mA.


Pour  relier  l’appareil  à  la  centrale d’alarme,  il  faut  le  paramétrer  (lire l’article depuis  le début) en  fonction du type de signal d’alarme disponible sur votre installation existante (positif ou négatif).

N’oubliez pas de programmer  la SIM comme expliqué ci-dessus, d’enregis-trer les messages et de vérifer, à l’aide des  indications fournies par  les LED, que tout fonctionne correctement.


                                                    
      Commentconstruire ce montage ?

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Les typons des circuits imprimés et les programmes lorsqu’ils sont libres de droits sont téléchargeables à l’adresse suivante :


http://www.electronique-magazine.com/circuitrevue/094.zip.



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