Gradateur de lumière DIAC-TRIAC

Montage :

Matériels:


Le TRIAC s’amorce comme un thyristor, mais il peut s’amorcer aussi avec des impulsions négatives, avec une tension VA1A2  positive ou négative.
Le DIAC ne conduit que si la tension V(positive ou négative) dépasse, en amplitude, une valeur caractéristique du composant comprise en général entre 20 et 35 Volts.


Etapes :

1-Circuit de la figure 11 monté.
   

2-Observation à l’oscilloscope du signal obtenu aux bornes du TRIAC en faisant varier le potentiomètre.

Avec lampe allumée au minimum:

20V/DIV    et    5ms/DIV
Avec lampe allumée au maximum:

20V/DIV    et    5ms/DIV

La raison pour laquelle l’angle de retard à l’amorçage ne peut être égal à zéro est que la résistance R impose un certain temps de charge au condensateur au lieu de se charger tout de suite ce qui en résulte un retard minimum.


3- Mesure des valeurs extrêmes de l’angle d’amorçage du TRIAC en fonction de P.

Angle maximum( lampe au minimum):
               T(mesure)= 19 ms(19 subdivisions)
               Angle = 6 subdivisions
               Angle = (360/19)* 6 = 113.68°


Angle minimum( lampe au maximum):     
               T(mesure)= 19 ms(19 subdivisions)
               Angle = 3 subdivisions
               Angle = (360/19)* 3 = 56.84°



4-La Tension VM pour laquelle le TRIAC s’amorce est :
               VM (AC mesure) = 23.2 V


Conclusions :

 Dans ce montage, on voit une mise en application de l’expérience n°10 avec un déclenchement de TRIAC en générant des impulsions avec un DIAC. Le DIAC  impose une tension d’entrée minimum à partir de  laquelle le TRIAC va recevoir une tension de gâchette. Cette tension minimum est générée ici par le potentiomètre.



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